Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Ven 5 Juin - 19:39
How can the devil be pulling you toward someone who looks so much like an angel when he smiles
Il se demande comment il est possible de ressentir aussi fort, de vivre aussi fort même quand la vie est compliquée. Même quand elle est dure. Comment est-il possible de ressentir un tel bonheur alors quand il la voit? Alors que son coeur bat à tout rompre, qu'il a l'impression d'imploser, elle le caresse, affirmant ne pas réussir pour toujours à se retenir et il comprend tellement. Il meurt d'envie de lui arracher ses vêtements et de la caresser comme jamais il n'a caressé quiconque auparavant. Toute une nuit. "Tu n'y es pas obligée! Je ne te l'ai jamais demandé!" Non, évidemment même s'il comprend qu'elle, elle n'ait pas envie de brûler les étapes, lui n'a pas l'impression que ce soit possible. Des étapes, il n'y en a jamais eu entre eux et il a l'impression de l'avoir dans la peau maintenant depuis si longtemps alors que ça ne fait que quelques semaines. Si bien qu'il sait qu'il fera partie de sa vie longtemps, sans avoir besoin de confirmation. Sans avoir besoin de temps. Et même s'il n'a pas envie de le nommer. Même s'il ne le fera sûrement jamais. Le ressentir lui suffit amplement parce qu'elle lui fait du bien Winnie. Il saute bien malgré lui en entendant la voix d'un homme mais ça ne l'aide pas à moins la désirer pour autant.
Il sourit en voyant le visage de sa belle se décomposer et il s'amuse à commencer à lui caresser les jambes jusqu'en haut de ses cuisses puis de l'embrasser dans le cou pendant qu'elle tente de répondre à son paternel, parce que la voir se dépatouiller, c'est amusant à souhait. Mais là voilà qui lui bloque alors la bouche et il se retrouve privé ensuite du moindre mouvement quand elle le cache dans le placard. "Si c'est trop long, j'sors à poil Rosie!" Prévient-il alors qu'elle lui ferme la porte au nez et qu'il soupire en levant les yeux au ciel. Chez lui, ils n'auraient pas besoin de se cacher. Il ne peut rien faire d'autre qu'écouter la conversation et il ne peut s'empêcher de noter à quel point ils ont l'air proches avec son père alors que lui, n'aura jamais une relation qui ressemble à celle ci avec son père. Même de loin. il grimace quand son père parle de Nolan et rien que l'idée de les imaginer s'embrasser lui donne envie de vomir. Il écoute l'histoire attentivement mais il ne reviendra évidemment pas sur ce sujet sinon, ils vont encore se battre. Quand enfin elle lui ouvre, il la regarde alors qu'elle l'arrête avant même qu'il n'ait dit quoi que ce soit. "Je n'allais pas me moquer! J'allais te demander ce que tu veux faire de tes 2h de liberté? Fuir ou me faire visiter?" Il sourit en commençant à faire le tour de sa chambre pour observer les détails. Livres. Photos. Une vraie adolescente. Rien à voir avec sa chambre à lui. Impersonnelle. Comme s'il n'y vivait pas. "Si un jour tu embrasses Nolan, je te vomis dessus je crois. Rien que l'idée..." Il la regarde amusé. "Ca t'as excité toi?" Il la taquine parce qu'il sait bien, au fond, qu'elle apprécie Nolan à sa manière. "Est-ce que je dois dire toute la vérité à ton père ou je dois enjoliver?" Demande-t-il finalement en se plaçant face à la fenêtre pour les regarder partir.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Ven 5 Juin - 19:57
Un frisson de dégoût parcourt son échine rien que de l’imaginer embrasser Nolan. Pourtant, il pourrait être son genre, qu’elle pense, mais Nolan est surtout gay. Alors forcément, l’éventualité n’est même pas envisageable. Mais elle voit bien que Stairs est jaloux. Peut-être qu’il le sera de chacun des garçons qui l’approchera ou la touchera un jour. Et elle n’a pas peur de cette option, ça la conforte même dans l’idée que leur attachement est quasi identique, indescriptible, incommensurable. « Nolan est… surtout gay. Et je t’interdis de le dire à qui que ce soit. » Elle apprécie Nolan, à sa juste valeur, parce qu’il est son ami, son soutien, quand Stairs n’est plus là, quand il se réfugie avec sa petite cour et qu’elle doit rester à l’écart. Parce que ce n’est pas son monde. Son monde ? Elle réalise juste que c’est Stairs, simplement lui. Elle se fiche royalement des barrières, des conventions qui les séparent parce qu’ils ne viennent pas du même groupe. Et au fond d’elle, Winnie veut briser ça. Pour qu’ils finissent par ne former qu’un. « J’ai une petite idée sur ce qu’on pourrait faire en deux heures oui… mais je ne pense pas être prête pour ça. Je sais que pour toi, c’est totalement différent. Tu as dû le faire des milliers de fois. Avec Brittany et… les autres. » Sur sa poitrine, elle croise ses bras, en plissant les yeux sous la déception. Elle les voyait bien ses filles qui le dévoraient continuellement du regard. Qui prétendaient être la seule, l’unique pour lui. Qui minaudaient en sa présence. Winnie ne comprend toujours pas pourquoi il l’a choisi elle. Qu’il ne connait que peu, voire pas du tout mais pour qui il décrocherait la Lune. Elle non plus ne comprenait pas son cœur mais elle savait que c’était une évidence. À l’instant même où leurs yeux se sont croisés. Il y a eu… cette chose, cette magie. Et ça les a envoûtés. « Si je lui ai dit la vérité, c’est parce que l’on est proches tous les deux. Il va juste te poser beaucoup de questions, comme il a fait avec Nolan pour s’assurer que tu n’es pas qu’un petit con arrogant. Il est militaire et très haut gradé. C’est de là que vient… sa droiture. » Winnie admirait son père pour ça, même si elle souffrait souvent de son absence quand il était envoyé sur le terrain, à l’étranger. Elle ne savait jamais si elle le reverrait vivant. Avec sa mère, Ethel, c’était différent. Elles s’entendaient bien, sans plus. Mais son père, c’était une part d’elle. « Il n’est pas méchant, il veut juste me protéger. Et puis, je ne l’ai pas habitué à ce qu’il s’est passé. Je me suis déjà battue, mais ça n’a jamais pris autant d’ampleur. Il parait que Brittany et ses parents ont failli porter plainte. Mais quand ils ont vu mon père en uniforme, ils se sont rétractés. » Elle hausse les épaules avant de se lever pour lui faire face. Timidement, elle pose ses mains sur ses hanches pour le tirer contre elle. « Et toi, tu veux faire quoi durant les deux prochaines heures ? Je sais que tu as une idée précise en tête. Je commence à te connaître maintenant. » Alors qu’elle rit doucement, en baissant la tête, totalement chamboulée, comme à chaque fois qu’elle est avec lui. Parce que c’est ce qu’il lui fait et lui procure, ce bien-être, cette légèreté, cette insouciance. Et il y a le reste, qui s’évapore, pour ne laisser que leur bulle hors du temps.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Ven 5 Juin - 20:22
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Il sourit quand elle lâche que Nolan est gay et qu'elle lui demande de ne rien dire. Il balance la tête et soupire. "Tu penses que je ne le savais pas? Par contre, je suis surpris. J'étais persuadé qu'il ne l'avait pas encore accepté lui-même... Alors que le fait qu'il te le dise prouve le contraire!" Il n'a jamais cherché à l'embêter sur sa condition d'homosexuelle. Il n'est pas homophobe Al, bien au contraire. Il n'a vraiment aucun problème avec cette idée et il arrive aisément à imaginer que l'on peut tomber amoureux d'une personne sans se concentrer sur son physique, son sexe ou quoi que ce soit d'autre. Il est persuadé d'avoir une ouverture d'esprit assez grande pour accepter cela. Il fronce les sourcils quand elle finit par présumer qu'il a sûrement couché avec toutes les filles de l'école et il sourit. "Et si jamais je te disais que je n'ai jamais couché avec une seule de ses filles, tu me croirais?" D'ailleurs, juste pour qu'elle sache et puisque Winnie lit assez bien en lui, il la regarde directement dans les yeux. "J'ai flirté avec elles, évidemment mais je n'ai jamais fait l'amour Rosie. Je n'ai jamais eu envie de le faire. Avec aucune d'entre elles." Et même si attendre la bonne, ce n'était pas son truc à lui, il n'avait jamais eu envie de se forcer à faire quelque chose dont il n'avait pas envie Al. Et les préliminaires l'avaient amusé mais il n'avait jamais pu se projeter plus loin. Cela ne l'avait pas intéressé.
"Tout ce que je te demande, c'est est-ce que tu veux que je mente ou pas?" Demande-t-il sérieusement. Il n'a pas envie qu'elle se retrouve coincée. Si jamais Al doit être sincère avec son père, il est clair qu'il va rapidement comprendre qu'il est loin d'être un bon gars. Encore moins le bon pour Winnie. Pour sa précieuse fille. C'est sans doute pour cela qu'il insiste d'ailleurs alors qu'elle ne semble pas comprendre. "Je n'ai jamais pensé qu'il était méchant Winnie. J'imagine que c'est normal d'être protecteur envers sa fille." Il imagine parce que sa mère le serait sûrement pour lui si elle le pouvait. Si elle en avait eu la force. Il rigole quand il entend l'histoire des parents de Brit ' et il lève les yeux au ciel, amusé. "Quelle bande de peureux sérieux! Il ne leur faut pas grand chose!" S'étonne-t-il en se disant que Brit elle, a dû péter un câble en apprenant que ses parents n'avaient pas pris son parti pour si peu. Il la laisse s'approcher pour glisser sa main dans sa nuque, tout en caressant ses beaux cheveux blonds et il la fixe intensément en posant un doux baiser sur ses lèvres. "2h, c'est bien trop court pour faire un tour à mon avis. Je propose qu'on passe du bon temps sur ton lit." Dit-il taquin avant de la soulever dans ses bras pour la jeter sur son lit avant de s'étaler sur elle et de lui mordre doucement le cou en la chatouillant.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Ven 5 Juin - 20:48
Elle sourit quand il prend l’air d’analyser les choses, une à une. Il a ces mimiques attendrissantes qui le rendent encore plus beau par moment. Comme quand il réfléchit ; quand il essaie de trouver une idée et même quand il la regarde. Il a cet air si différent des autres. Elle trouve d’ailleurs ça parfois triste qu’il fasse semblant de paraître idiot alors qu’il pourrait faire des choses bien plus belles, bien plus grandes s’il se montrait réellement sous son vrai jour. Peut-être que c’est parce qu’elle le sait, finalement, qu’il n’est pas que cette arrogance, pas seulement cette colère, qu’elle l’aime. Pour tout ce qu’il lui donne, pour tout ce qu’il lui dévoile. Ce qu’elle entrevoie, ne l’effraie pas, ça l’attire encore plus. Le soigner, le guérir, si elle le peut. En revanche, elle est surprise quand il lui affirme n’avoir jamais rien fait, avec personne. Seulement des préliminaires et encore que, ça ne semblait pas l’avoir tant amusé que ça. « Mais je croyais pourtant que… elles te regardent toutes comme si tu leur appartenais. Je me demande si. Si avec moi, tu en as envie ? Si… je te la donnais ? » Elle veut tout lui donner, sans concession, sans retenue. Juste lui offrir ce qu’elle peut, tant qu’elle le peut. Par peur de ne pas avoir assez de temps. Elle rougit, timidement, ses mains se crispant sur son tee-shirt et ses hanches. C’est une éventualité qui la grise totalement. Encore plus de savoir qu’ils le feront tous les deux. Ensembles.
« Il le devinera si tu mens tu sais ? Ils lui ont appris à l’armée. Alors… sois honnête. Et il croit en mon jugement. Je sais au fond que tu n’es pas entièrement mauvais. Tu es juste en colère contre le monde entier. Mais avec moi… tu es si différent. Tu me préserves d’elle. » Winnie frissonne quand il l’embrasse délicatement, encore plus quand il la soulève pour la mettre sur son lit. Elle lui fait volontairement une place entre ses jambes lorsqu’il vient la dominer et elle déglutit de le sentir bien trop proche d’elle. Cette proximité la déstabilise. Winnie a même du mal à respirer quand il mordille sa peau et qu’il la chatouille. Mais elle veut voir ses yeux, alors sa main va à sa nuque et un gémissement lui échappe, proche de son oreille. Tout comme le Stairs lâcher avec envie, à peine audible. Lorsqu’il s’arrête, sa respiration est saccadée, comme si elle venait de courir un marathon pour sa vie. « Teach… me. Teach me Stairs. I want this with you. I’m… I’m sure. » Sa main passe doucement dans ses cheveux et elle sait ce que ça veut dire, ce qu’elle vient de lui demander. Le souffle lui manque pourtant, comme si l’attente lui est insupportable. Elle se brise déjà à l’idée qu’il la touche, plus intimement, plus profondément. Et elle n’a pas peur. Winnie le veut, depuis le premier jour. Cette tension palpable entre eux, la tue et la consume, depuis tout ce temps. « I’m not scared. » Qu’elle lâche, finalement, pour le lui faire comprendre, réellement.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 7:51
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Il s'amuse quand elle paraît choquée. C'est pourtant évident qu'elle le soit. Il ne donne pas l'air d'être puceau et il trouve cela plutôt réconfortant. Après tout, personne ne s'est jamais intéressé de savoir si oui ou non, il avait déjà sauté le pas puisqu'il a l'air de l'avoir fait. Il rigole même quand elle explique que les filles le regardent comme du bonbon et il hausse bêtement les épaules. "C'est sans doute parce que je suis vraiment doué dans les préliminaires!" Lâche-t-il fièrement en lui faisant un sourire. Il fait mine de s'en vanter mais en vérité, aucune ne lui a fait autant d'effet qu'un seul baiser avec Winnie alors il s'étonne finalement quand elle semble se demander s'il veut plus avec elle. Il balance la tête, surpris qu'elle ait autant de doute surtout quand elle peut sentir ou voir l'effet qu'elle lui fait. Il caresse doucement sa joue en la fixant, la dévorant presque des yeux. "Comment peux-tu même en douter? Tout en moi prend feu avec un seul de tes baisers..." Souffle-t-il en caressant ses lèvres qu'il aime tant. La voir rougir comme ça n'arrange rien finalement. Il n'en a que plus envie. Presque férocement et à ce moment, une douche froide ne lui a jamais paru aussi nécessaire.
Il souffle quand elle parle de lui, de sa colère et de son père. Al ment si bien et avec une telle facilité qu'il se demande si réellement son père pourrait s'en rendre compte. Cependant, si elle lui a demandé d'être sincère, il y a de fortes chances qu'il le soit, au moins pour lui faire plaisir. Il sait qu'il la préserve, qu'il la met à l'écart de tout ce qui le bouffe, qu'il n'en parle pas pour éviter d'exploser mais il ne se doutait pas qu'elle en avait conscience. "Très bien, je serais honnête avec lui." Ce qui sous-entend également qu'il ne se gênera pas de lui dire qu'il devrait se mêler de ses fesses s'il va trop loin mais bon, Winnie se souviendra que c'est elle qui lui a demandé d'être lui-même tout simplement. Ce qu'il fera. Tournant la page, prêt à jouer avec elle, à s'amuser et à profiter de son rire toute la soirée. Il pose ensuite un baiser chaud au creux de son cou parce qu'il aime sa peau et que dès qu'il l'approche, il ne peut s'empêcher de la goûter. Et lorsqu'il recule un peu, la tension trop forte, la pression trop violente et son coeur battant la chamade, elle le retient, sa respiration contre sa peau. Contre ses lèvres. Il ouvre grand les yeux à sa demande, certain que ce n'est pas forcément une bonne idée et qu'elle pourrait le regretter. "Mauvaise idée ma Rosie. Le lit, la nuit. Je crois que tu n'es pas aidée au bon sens ma chérie." Souffle-t-il pour reculer encore un peu parce que lui non plus n'est pas aidé. Ni par elle, ni par lui. Et quand elle affirme être sûre comme si elle y avait réellement réfléchi. Quelque chose craque en lui. Sa détermination à lui laisser le temps sans doute. A s'éloigner. Il fond alors à nouveau sur elle, son bas ventre contre le sien, se collant à elle à plusieurs reprises, ce doux tissu si fin. Si plaisant. Sa main remonte alors de sa cuisse, à ses fesses, sa taille avant de capturer son sein au creux de sa main. Si parfait. Si merveilleusement dessiné qu'il caresse, qu'il titille, qu'il apprend alors que leur baiser s'échauffe presque autant que lui.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 8:25
Spoiler:
Tout en elle prend feu. Sa peau. Sa gorge. Son cœur. Et pour la première fois de sa vie, entre ses cuisses. Leur proximité est une torture qui, bien plus intime qu’un seul de leur baiser, la fait plier, à sa merci. Alors, quand elle sent sa main, ses doigts courir de sa cuisse à ses fesses, de sa taille jusqu’en dessous de son tee-shirt, la sensation est bien meilleure que si c’était elle qui se touche. Elle se mord la lèvre, par peur qu’il l’entende, pas peur qu’il se moque même de la voir défaillir à ce point. Mais elle a surtout honte qu’on puisse l’écouter gémir. Ça ne lui ai jamais arrivé, d’en avoir envie à ce point, de se maudire d’imaginer, jusqu’à la simple caresse même. Et le vivre, lui parait bien plus douloureux encore. Ses fins doigts vont dans les cheveux de Stairs, tremblants, pendant que son petit corps se cambre contre le sien. Davantage quand elle sent qu’il caresse son bas ventre avec le sien. Elle y a réfléchi, pendant des heures, à cette éventualité, de sauter le pas avec lui. Cela lui paraissait évident, que ça soit lui son tout premier. Cette vérité l’avait frappé le soir de la fête, quand dans ses yeux, elle comprit toute l’ampleur de leur attachement mutuel. Winnie voit cette passion dévorante prendre forme, sous ses yeux, à quel point lui a peur de lui faire du mal, rien qu’en la frôlant. Et ça l’amuse un peu d’une certaine façon. « Do it. » Parce qu’il peut faire le fier autant qu’il veut à prétendre avoir joué avec toutes les filles de l’école, face à elle, il reste un garçon hésitant. Même leur baiser, bien que féroce, est encore plus enivrant.
« Si tu as peur de me faire mal… je ne suis pas en porcelaine Stairs. Je suis sûre de ce que je veux… que je te veux toi. De toutes les façons possibles. » Elle s’empare de cette main qui s’était faufilée sous son haut pour l’embrasser, y déposer des baisers papillons avant de la poser sur sa joue en lui souriant et de fermer les yeux. Winnie sait qu’elle n’a jamais été aussi sûre d’elle qu’en cet instant, que de le vouloir, que ça soit lui et uniquement lui qui la découvre, qui lui ravit son innocence – déjà à moitié envolée. « Avant toi, je n’ai jamais… pensé à me… soulager toute seule. Mais depuis le baiser… j’ai essayé. Plusieurs fois. Et j’ai aimé imaginer que c’était toi. » Ses joues rougissent sous la gêne, alors que son regard est voilé par le désir. Avouer une chose pareille, certaine d’être enfin la seule, ça la chamboule totalement. Sans imaginer un seul instant l’effet que ça peut lui faire à lui. « Toi… aussi ? » Même si elle se doute de la réponse et que rien que de le voir, là, au-dessus d’elle, en parfaite maîtrise de lui-même lui prouve bien la chose. Pourtant, Winnie le repousse doucement, pour le dominer, assise sur son bassin. Lentement, elle retire son tee-shirt, avant de s’emparer de ses mains pour les poser sur ses seins. « I’m… yours. Don’t be afraid. » qu’elle lui souffle, surprise elle-même d’en avoir autant envie, sans une seule once d'hésitation.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 9:21
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Il ressent tout au centuple dans ses bras. Il est émerveillé devant la force de leurs sentiments. Elle est tellement parfaite à ses yeux qu'il se demande si elle est réelle. S'il n'est pas encore, comme ses nombreux soirs, en train de rêver d'elle. D'eux. De son corps qu'il a imaginé un million de fois. Qu'il a reluqué en cours de natation. Qu'il a deviné sous chacun de ses vêtements trop fins. Encore plus ceux d'aujourd'hui. Ses lèvres, sa peau brûlante, ses yeux pleins de désir. Tout ce qu'il voit lui plaît. Tout ce qu'il voit le rend complètement dingue et quand elle lui rappelle de se lâcher, il sourit Stairs. Pas parce qu'il n'en a pas envie mais au contraire, parce qu'il n'hésite pas, contrairement à ce qu'elle croit. Tout du moins, il n'hésite plus parce qu'il a lu dans ses yeux. Il a vu dans son regard combien elle en a envie. Autant que lui. Il recule un peu pour la laisser parler avant d'embrasser son nez son menton, sa mâchoire et de souffler. "Je n'ai pas peur de te faire mal ma Rosie? Comme si qui que ce soit le pourrait..." Certainement pas. Elle est forte, c'est sans doute la fille la plus forte qu'il lui ait été donné de connaître. "Laisse moi juste prendre mon temps. Je veux te connaître. Je veux t'apprendre. Je veux toucher chaque parcelles de ton corps et comprendre lesquelles tu préfères. T'entendre à chacune d'entre elles."
Alors qu'il la regarde, il descend son doigt le long de son ventre, y dessinant quelques fils de son désir dévorant pour elle avant de poser une main entre eux. Pile sur ce point de chaleur ardent qui les a mené là où ils sont. "Je veux voir tes yeux quand je te donne du plaisir. Je veux tout vivre fois 1000 avec toi ma Rosie..." Il sourit avant d'embrasser son cou, de la dévorer avec une envie qu'il ne peut dissimuler. A sa révélation, il s'arrête, s'étonnant un peu de cet aveu secret mais touché. Mieux, il meurt d'impatience de savoir ce qu'elle a fait en pensant à lui. Il embrasser le lobe de son oreille, le pince du bout de ses lèvres avant de lui souffler doucement. "Raconte moi ma chérie. Dis moi ce que tu as fait en pensant à moi." Il commence doucement à la caresser à l'endroit pile où il a posé sa main, le coeur de leur désir battant si fort. "Je l'ai fait un million de fois en pensant à toi. Sous ma douche, dans mon lit. Un million." Sourit-il en continuant sa supplice. Maintenant que la ligne est brisée. Qu'il n'y a plus de limite. Il va se nourrir d'elle Stairs parce qu'elle lui fait un bien fou. Parce qu'elle lui donne tout et qu'il s'en régale. Qu'il se ressource. Et alors qu'elle pose ses mains sur ses seins, il souffle quand elle annonce être la sienne. Juste à lui. "Content que ce soit clair! Tu es à moi, oui!" Affirme-t-il finalement avec force parce qu'elle n'appartiendra à personne d'autre. Il l'a bien trop dans la peau, dans ses veines. Il goûte alors à ses seins, d'abord du bout de la langue avant d'en capturer la pointe entre ses lèvres et de glisser sa main sous ce petit shorty qui n'a pas cessé de le défier. Trop collé à elle, au point qu'il le jalouse. Au point qu'il souhaite le déchirer.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 9:51
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Elle s’étouffe presque à chacune des sensations qu’elle ressent, qu’elle ne connait pas, qu’elle découvre. Elle a l’impression que chaque chose est nouvelle, que chaque touché est divin, que chaque soupir est le dernier. Mais quand elle l’entend dans le creux de son oreille, lui raconter, lui dire tous ces merveilleux actes qu’il a fait en pensant elle, elle se raccroche difficilement à la réalité. Winnie se cambre, violemment, attendant la prochaine vague qui est prête à la tuer. Mais elle ne vient pas, parce que ce n’est que plus délicieux encore que la précédente. Elle n’arrive même pas à articuler, bien trop préoccupée à essayer de comprendre pourquoi son corps répond à chacun de ses appels. « Ma main s’est… faufilée entre mes cuisses… » Winnie essaie de lui raconter, de toutes ses forces, mais les mots se bloquent au fond de sa gorge. Le plaisir l’enlace et l’étreint avec un acharnement qui la désarçonne. Une de ses mains se pose sur l’épaule de Stairs pour trouver un appui, pendant que l’autre s’empoigne à ses cheveux. « J’ai… murmuré ton prénom… Alistair… puis Stairs… pendant que… » Elle se mord la lèvre, incapable de pouvoir continuer, tant elle tremble à chaque fois qu’il la touche, doucement ou avec force. Elle plie sous le poids du plaisir quand il faufile sa main dans son shorty, avec délicatesse. Sur ce bouton de chair qui la fait vibrer, pendant que sa langue, mutine, dévore sa poitrine. « Pendant que mes doigts… tentaient de combler ton absence… ici… » Douloureusement, elle se retient à son tee-shirt, posant son front contre le sien, haletante.
Ses yeux sont voilés de cet appétit de lui appartenir, entièrement. Totalement. Sans avoir de secrets, juste être à nue, pour lui. La gorge sèche, elle plonge sa tête en arrière, à sa merci. Si bien qu’instinctivement, elle commence à mouvoir son bassin contre le sien, dans un geste mécanique. Comme si ça avait toujours été le cas. « Tu es… aussi à moi Stairs ? » Qu’elle demande, fébrile, sur le point d’exploser sous l’effet de son orgasme. Son esprit est embrumé, pris au piège par les gestes qu’ils lui infligent. « Laisse-moi te le rendre… » qu’elle le supplie presque alors qu’elle est au bord du précipice, prête à plonger tête-bêche pour lui. « S’il te plaît… je t’en prie… Stairs ! » Qu’elle finit par laisser échapper un peu trop fort, sous son orgasme, avant de mettre sa main devant sa bouche, gênée et un peu honteuse. Son regard vrille au sien, nébuleux, encore sur ce nuage où il l’a emmené et lorsqu’elle voit son sourire, elle ne peut s’empêcher de fondre sur ses lèvres, avec une faim incommensurable. Le serrant contre elle, à bout de souffle, elle veut tout, elle veut qu’il comprenne, qu’il sache la réciprocité de ses sentiments, de son attachement. Même si c’est cruellement douloureux d’être loin de l’autre. « J’ai envie de te goûter à mon tour… » Sa tête se penche sur le côté avec un sourire taquin, en le détaillant de ses yeux mutins, certaine qu'il ne pourra rien lui refuser.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 10:13
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Il le savait pourtant Al. Quand il y a pensé, quand il l'imaginait, il le savait qu'avec Rosie, tout serait différent, tout serait beaucoup plus beau. Tout serait même multiplié mais il n'aurait jamais cru que ça puisse être aussi fort. Si fort qu'il ait l'impression que son coeur va se détacher de sa poitrine alors qu'il bat également dans tout son coeur. Dans ses tempes avec violence. Et elle n'arrange rien sa belle quand elle finit par répondre à sa propre requête, haletante, excitée. La regarder prendre du plaisir sous ses doigts, l'imaginer faire, la voir là, dans son lit, se toucher sous ses couvertures qu'il touche, qu'il frôle juste pour lui. En pensant à lui. Et alors qu'elle lui raconte, il reproduit sans le moindre remord chacune de ses paroles, chacun des geste qu'elle a eu sans lui. "Comme ça?" Demande-t-il alors qu'il insère doucement un doigt en elle comme dans son récit avant de bouger, sachant que rien ne remplacera jamais l'union de leur deux corps mais que pourtant, cette intimité est déjà si forte qu'il a l'impression de perdre pied. De vriller. Quand elle bouge contre lui, cherchant son désir toujours plus fort, il constate combien, déjà seule, elle a appris à trouver cette ascendance en l'imaginant et cette idée ne l'excite que beaucoup plus. Enormément.
Et alors qu'elle a besoin de l'entendre, qu'elle a besoin d'être rassurée alors que la réponse semble si évidente qu'elle brûlerait les yeux de n'importe qui. Il lui murmure. "Oui, tout à toi!" Lâchant à voix haute l'évidence frappante qui leur a causé tant de problèmes mais qui vaut la peine. Aller en enfer pour Rosie, c'est plus qu'acceptable à ses yeux. Et n'y tenant plus, il arrache son petit short pour pouvoir enfin la goûter. Pour poser les lèvres sur son intimité, avec cette sensation d'appartenance complète qui les caractérise parce que la voir bouger ainsi contre lui l'a rendu dingue. Et avec sa langue, ses lèvres, il l'amène à l'apogée d'une attirance qui les tue à petit feu tous les deux, se délestant de ce cri, de ce qu'elle lui dit, de cet appel qu'elle lui fait alors qu'elle vibre enfin sous sa bouche et qu'il se relève pour capturer chacun de ses soupirs, chacun de ses gémissements. Elle est sienne et il le marque là. Il le pose en prenant tout ce qui lui appartient. Tout, tout simplement. "Oh ma Rosie. Tu es parfaite..." Et il pèse presque ses mots en la caressant encore alors qu'elle frissonne, chaude et fraîche à la fois contre sa peau. Il ouvre les yeux, surpris par sa demande, surtout pour leur première fois. Pour leur premier échange. Cependant, c'est Winnie. Il devrait savoir qu'elle est toujours surprenante. Il détache son pantalon avant de s'en débarrasser complètement. "T'es sûre de toi?" Demande-t-il tout de même. "Tu n'es pas obligée de le faire!" Précise-t-il juste pour expliquer que ce n'est pas forcément censé se passer comme ça. Pour ne pas qu'elle pense lui redevoir quoi que ce soit.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Sam 6 Juin - 11:19
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Le voir si hésitant face à sa demande la rend toute chose. Elle ne l’a jamais vu être pris de court, par quelque chose, ou même quelqu’un. Alors elle s’en délecte de l’observer être surpris. Winnie lui sourit, en passant sa main dans ses cheveux, presque victorieuse de le voir céder. « Je veux le faire depuis que j’ai compris. Depuis notre premier baiser… tu ne sais pas tout ce que tu as éveillé en moi. » Non, il ne sait pas à quel point elle le veut, à quel point, elle veut tout de lui. Tout ce qu’elle peut découvrir, tout ce qu’elle peut avoir. Tout ce qu’il est capable de donner, sans avoir peur. Depuis le début, elle a su, tout ce qu’il avait à offrir, tout ce qu’il cachait, sous cette carapace et elle n’a jamais hésité à creuser pour entrevoir ce qu’il est vraiment. Et ça lui plait, de savoir qu’elle est la seule à pouvoir en profiter, à pouvoir ne serait-ce que le toucher du bout des doigts. Quand elle le voit se déshabiller, elle frissonne en penchant sa tête sur le côté. Avant qu’il ne parle, elle pose son index sur ses lèvres, en l’allongeant doucement. « À mon tour… Profite juste, s’il te plaît. Si je m’y prends mal, tu as le droit de me guider. » Elle dépose un baiser sur ses lèvres, avant de descendre le long de sa mâchoire, son lobe, son cou. Mordille par endroit son torse, en se délectant de ses frissons. Arrive à son ventre pour laisser y glisser ses lèvres, délicatement. Et vient enfin l’objet de toutes ses convoitises.
Légèrement nerveuse, elle laisse doucement sa langue l’effleurer pour en sentir la chaleur. Tout en le regardant dans les yeux. « Je crois que je l’aime déjà Stairs. » Et dans un geste timide, elle le prend en bouche. Légèrement, sans lui faire de mal, elle se met à l'engloutir en poussant un soupir de plaisir. Alors même que ses prunelles malicieuses s'ancrent dans celles de Stairs et que ses doigts humides caressent son gland, si chaud, pulsant de désir à ce qu’elle lui fait subir. Ses yeux gourmands se nourrissent de le voir à sa merci, avant de le reprendre entièrement et d’entamer un lent va-et-vient. Elle ne lui avouera pas qu’elle s’est entraînée, pour lui, pour avoir une chance de le satisfaire, de le combler en se demandant si quelqu’un avait déjà réussi avant elle. Winnie ferme les yeux en l’entendant gémir, soupirer d’envie et elle réalise à quel point abandonner à son propre plaisir, il peut être si beau, si magnifique. Sa beauté l’a toujours envoûté, accrochant sa rétine, mais elle comprend à quel point il l’est, davantage encore, les traits marqués par le plaisir. Mais le sait-il, l’effet qu’il lui fait ? La faim qu’il génère en elle, désormais insatiable ? Sait-il qu’elle en est dépendante, même ? Il ne doit pas le soupçonner et c’est bien là toute la dangerosité de leurs sentiments. Winnie s’écarte, pour reprendre son souffle, en l’observant si fragile, si démuni face à ce qu’elle lui inflige, presque de la torture. « Beg me Stairs. » Qu’elle lui souffle, sa main droite s’occupant de ne pas le laisser sans rien.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Lun 8 Juin - 8:03
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Etrangement, quand elle lui explique qu'il a éveillé quelque chose de particulier en elle, contrairement à ce qu'elle pense, il comprend tout à fait et même s'il ne lui dira jamais. N'étant ni sentimental, ni du genre à s'étaler sur ce qu'il ressent, lui aussi a su, dès le moment où leur regard se sont croisés que ce serait elle avant tout et pas une autre. Elle est belle Winnie mais ce n'est pas ce qu'il a préféré chez elle. Elle n'est pas plus belle qu'une autre et elle n'a physiquement rien de plus particulier. Elle fait sans aucun doute parti de l'élite de ce côté là mais beaucoup au lycée pourraient quand même l'écraser à ce niveau. Par contre, ce regard franc, cette force de caractère, cette manie à ne jamais rien lâcher et à ne jamais laisser qui que ce soit la traîner dans la boue, ce besoin continu qu'elle a de vouloir sauver le monde comme si cela pourrait tout changer. Ca, c'est ce qu'il aime chez elle. Ca, c'est ce qui l'a fait tomber sous son charme au point de ne plus pouvoir regarder ailleurs. De ne plus pouvoir s'intéresser à qui que ce soit. Alors, oui, quand elle lui fait sa requête, requête qui n'est pas pour le déplaire, même si lâcher prise, c'est toujours difficile pour lui. Il accepte sans hésiter, espérant tout de même qu'elle le fasse par plaisir et non par obligation ou un sentiment idiot de redevance. Quand elle l'empêche de répondre en lui demandant de le faire, il se promet intérieurement d'essayer mais il a toujours eu le cerveau en ébullition Al. Jamais rien ne lui permet d'en sortir.
Pourtant quand elle pose ses lèvres sur les siennes. Qu'ils se rencontrent et qu'enfin il peut les sentir, si douces partout sur son corps, il ferme les yeux Al. Jamais il n'a ressenti aussi fort, jamais il n'a été aussi excité de sa vie avant même qu'elle ne commence à le toucher réellement intimement. Il serre les dents Al parce qu'il est hors de question de se laisser réellement aller à des spirales de désir qui lui feront complètement perdre la tête et il sait pourtant que Rosie serait bien la seule à en être capable. Et il ne comprend que très vite qu'il risque de perdre pied quand sa langue l'effleure et qu'un souffle s'échappe de sa bouche alors qu'il ne peut s'empêcher de la regarder pour l'entendre dire ce qui le fait faiblir. Ce qui le fait lâcher complètement avec la réalité. Comment peut-elle oser même lui dire qu'elle s'y prendrait mal. Il se met à croire qu'elle ment Al. Qu'elle l'a forcément déjà fait avec un million de mecs et sa jalousie tremble en lui. Pas assez longtemps puisqu'il découvre enfin la sensation de ses lèvres et de sa langue sur lui. Il rejette la tête en arrière, retenant là encore un grognement de plaisir, étonné lui même par la force de ses ressentis alors qu'il glisse sa main dans les cheveux de sa belle, ayant l'impression de contrôler encore quelque chose ainsi. Comme s'il pouvait avoir le dessus sur elle, à ce moment. Et à sa propre surprise, il gémit, sous la torture qu'elle entreprend de lui faire subir, l'amenant dans des contrées alors inconnues et il oublie tout, s'abandonnant à elle jusqu'à ce que sa voix le sorte un moment de ses pensées et qu'elle lui arrache un petit soupir de frustration quand elle s'éloigne de lui. Elle le cherche. Elle le taquine. Elle veut le pouvoir sa jolie Rosie mais elle sait pourtant que jamais il ne lui donnera. Il lui faut pourtant se faire violence pour atterrir à nouveau et revenir à la réalité avant de lui dire."Oh ma chérie, soit tu termines, soit je te fais l'amour toute la nuit pour oublier cette douce frustration." Ce serait mal le connaître que d'imaginer qu'il pourrait supplier qui que ce soit. Même elle qui lui est si précieuse. Il retire alors un préservatif de son jean oublié. "T'as le choix ma Rosie."
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Lun 8 Juin - 13:06
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D’une certaine façon, même s’il lutte, même s’il fait semblant pour garder la face, elle voit bien qu’il supplie, qu’il plie sous sa volonté. Alors, elle sourit, amusée, de le voir tenter de garder un certain contrôle sur la situation. Elle a senti la prise dans ses cheveux, elle a su, qu’il avait cédé ; que les barrières étaient tombées, partageant une soumission commune, sans avoir besoin de la nommer. En le dévorant des yeux, en admirant à quel point il est presque irréel, avachi de cette façon, combattant l’envie de la faire sienne comme il le peut. Et Winnie laisse un petit rire lui échapper, parce que, finalement, elle le trouve tellement touchant, si mignon de se donner l’impression qu’il a le droit de la manipuler dans un moment pareil, alors que c’est lui qui est en train de la créer, de la façonner, telle qu’elle sera. « Are you scared Stairs ? Of me ? » Alors qu’elle se relève, en repoussant ses cheveux en arrière pour venir le dominer doucement, s’emparant du préservatif entre ses doigts, puis entre ses lèvres pour l’ouvrir sans quitter ses yeux, bien trop proche de son visage. « Je voulais… faire notre première fois dans ta bibliothèque… mais comme monsieur est mauvais joueur. » Elle feinte de soupirer agacée avec un petit sourire pour le narguer. Winnie le sort et baisse la tête pour le lui mettre, avec assurance. Alors ils vont le faire, tous les deux. L’idée même la grise totalement, presque impatiente d’être entièrement sienne. « J’écoute les cours d’svt, au cas où tu te poserais la question. Et j’ai dû… m’entraîner une ou deux fois sur une… banane. » Qu’elle lui avoue, à moitié honteuse et rougissant, se mordant la lippe nerveusement.
Son front se pose contre le sien, alors que leurs souffles se mêlent, en silence. En vérité, elle tente de trouver le courage de le faire, pesant le pour et le contre dans son esprit. Ses fins doigts caressent les cheveux de Stairs, tendrement. Avant de relever son visage vers lui, son cœur battant si fort, à tout rompre, que ça l’étouffe un peu. « Je le veux. Je te veux Stairs. À la condition que je sois au-dessus au début pour… pour me guider. » Doucement, elle s’empare de ses lèvres, pour l’embrasser avec amour, pour se donner un peu de force. Elle n’a jamais eu autant envie de se mêler à quelqu’un, avec autant d’envie, de besoin, presque douloureux. Qui la brise. Et elle sait qu’il est surpris par ses prises d’initiatives, mais Winnie est Winnie, rarement quelqu’un la fait fléchir – même s’il est le premier à le faire. À la soumettre face à quelqu’un, par amour. Et elle n’a aucun regret Winnie. Elle n’en aura jamais, de l’aimer si fort, de le désirer si ardemment, de le posséder entièrement, déraisonnablement. « I want all of you Stairs. » Tout contre lui, alors qu’elle prend son érection dans sa main pour s’y asseoir, à son rythme, même si elle a mal, même si c’est douloureux. Son autre main passe dans la nuque d’Alistair pour garder un point d’appui, d’ancrage pour ne pas se laisser s’effondrer, pour transférer la sensation qui la tiraille ailleurs. Sa respiration devient erratique, elle prend sur elle pour se mouvoir contre lui, au bout de quelques secondes, lentement, sans lui laisser une seule seconde le temps de la dominer. « It’s… okay. » Qu’elle souffle, contre sa peau, alors que ses mains se posent sur son torse et qu’elle n’arrive pas à se détacher de son regard pour tout y voir, tout y ressentir, de plein fouet. Ensembles.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Lun 8 Juin - 19:33
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Il n'a pas peur d'elle Al. Il a peur de ce qu'il ressent en sa présence. Il a peur de perdre pieds. Il a peur de se laisser aller et de la laisser voir ce qu'il y a réellement au fond de lui. La colère, la rancoeur, la noirceur et tout ce qui est profondément cacher. Il est effrayé de laisser tomber le masque et de lui montrer un tableau qui ne lui plaît pas lui-même. Pourtant, il la sait capable d'encaisser ça. D'encaisser tout et n'importe quoi mais c'est peut-être lui qui n'est pas assez fort. C'est peut-être lui qui n'est pas prêt pour cela et incapable d'accepter sa vie comme elle est. Pourtant, être avec elle ce soir lui fait un bien fou et lui permet d'oublier, au moins le temps d'un instant, sa vie, ses problèmes. Grâce à elle, ce soir, tout n'est que passion et euphorie. Sentiments et désirs. Sensation et plaisir. Alors il la regarde quand elle demande, parce qu'il la trouve belle, comme ça, sur lui. Il trouve tout cela naturel, comme si cela avait toujours dû être. Toujours dû arriver. "Bien-sûr que non! Et toi? Tu as peur de ce qui pourrait arriver ma chérie?" Lui demande-t-il alors qu'elle avoue doucement avoir fantasmé sur eux dans sa bibliothèque. "On pourra recommencer autant que tu veux ma Rosie et où tu voudras." Dit-il un sourire aux lèvres, persuadé que jamais il ne s'en lassera. Certainement pas d'elle.
Il s'amuse de l'entendre parler de la banane et il fronce les sourcils. "A mon avis, tu n'avais pas besoin d'entraînement." Elle semble tout faire si naturellement. A n'en pas douter, Winnie aime ce qui se passe et ce qui arrive. Elle est loin d'être coincée et Al n'a jamais imaginé le contraire. Il s'étonne pourtant de sa demande. Celle d'être au dessus alors qu'elle n'y connaît rien. Etrange mais finalement, il se dit qu'elle aura bien plus de facilité à trouver son plaisir de cette manière. Il hoche alors la tête avant d'agripper ses hanches pour la guider avec douceur. "J'ai tellement envie de toi Rosie. Tellement!" Souffle-t-il alors contre ses lèvres en les capturant avec une force mêlée à cette dépendance qui le bouffe au fond. Il l'aide en la menant exactement là où elle doit être. Et alors qu'il sent la chaleur de son intimité entrer en contact avec la sienne, il ouvre grand les yeux avant de pousser un soupir de plaisir alors qu'elle glissait toujours un peu plus. Alors que pour lui, tout n'est qu'excitation et délice, il voit dans ses yeux qu'elle souffre et n'insiste pas sur ses hanches pour la laisser aller à son rythme. Il se mord la lèvre inférieure pour se retenir, pour ne pas la presser alors qu'il meurt dans son supplice. Il meurt d'envie pour elle. "Ma Rosie." Il la regarde alors droit dans les yeux quand elle annonce que ça va mais il n'est sûr de rien alors il la prend par la nuque pour ramener ses lèvres à lui tout en caressant ses fesses avant de bouger tout doucement sous elle juste pour voir ce qu'elle ressent, alors qu'il n'est déjà plus loin de l'extase. Parce qu'elle est trop belle sa Rosie. Trop excitante. Trop étroite. Vraiment rien à voir avec sa main et ce qu'il a pu connaître.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Lun 8 Juin - 20:26
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Cette proximité. Cette chaleur. L’ambiance et l’air qui sont électriques. Winnie a la sensation que tout n’est qu’un doux rêve, malgré la douleur passagère entre ses cuisses. L’étrange, mais agréable plaisir que même ses fantasmes les plus fous ne valent pas autant que la réalité. Et quelle réalité. Le désir est nouveau, à chaque fois ; il se décuple à mesure que le temps passe et elle défaille à chaque seconde. Son corps tout entier réagit aux caresses, aux mains de Stairs sur ses hanches, à lui en elle, à ses baisers sur sa peau. Winnie a la nette impression qu’à chaque fois qu’elle le touche, leur épiderme prend feu, que dans leurs veines, pulsent à vive allure l’ardeur de leurs sentiments. Délicatement, elle répond à ses baisers, avant de se retirer en mordant sa lèvre inférieure. Le voir si sentimental, si attendrissant, ça la fait frissonner et une sensation agréable parcourt son échine. Elle lui sourit doucement, avant de le regarder dans les yeux, avec un plaisir démesuré, décuplé. « Je n’ai peur de rien… Et certainement pas de toi, ni de qui tu es. » Qu’elle souffle doucement avant de poser sa tempe contre la sienne, ses mains sur ses épaules. Son bassin commence à entreprendre un va-et-vient un peu plus ferme, comme si elle avait plus d’assurance, laissant ses soupirs mourir dans le creux de l’oreille de Stairs, terrassée par ce besoin de le sentir encore plus profondément en elle. « Vraiment partout ? Tu ne sais pas ce que tu viens de dire… trust me. » Winnie était passionnée, en tout. Elle a imaginé plusieurs scénarios, bien malgré elle ; supposé des moments propices pour. Elle a même repéré des endroits, ici et là, où elle en aurait envie. Et avant lui, elle n’y pensait pas. Elle n’y connaissait même rien. Mais ce feu dans ses entrailles s’est allumé, insatiable, affamé.
L’entendre gémir son surnom, le susurrer avec autant d’appétit, ça la transcenderait presque. Winnie ignorait quel effet cela aurait sur elle, à quel point elle en redemanderait, à quel point elle en serait dépendante désormais. Ses doigts s’agrippent violemment aux cheveux de Stairs alors qu’elle se mouve avec plus de facilité sur lui. Elle griffe, mord, embrasse sa peau comme pour le marquer, le posséder, pour lui montrer qu’il n’appartient qu’à elle. Que les gens voient à quel point ils se sont unis pour ne faire qu’un. « Moi encore plus Stairs... tellement plus… » Quand il avoue la désirer tellement, atrocement. Elle en ressent tout le besoin vital de la toucher, de la sentir sous ses doigts. Pourtant, elle ralentit, pour profiter encore un peu, pour savourer davantage de ce plaisir qui la traverse de toute part, brûlant ses organes un à un. Sous ce poids, elle suffoquerait presque, si elle le pouvait. « I need… more. » qu’elle articule difficilement contre sa bouche, le souffle chaud et le myocarde au bord des lèvres. Winnie sent qu’elle n’en a plus pour longtemps et elle est à deux doigts de lui claquer dans les bras. Alors qu’elle l’observe, en réalisant qu’elle l’aime, beaucoup trop.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00)) Lun 8 Juin - 21:16
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Al sait qu'elle n'a peur de rien, ce qui est dommage d'ailleurs parce que c'est sûrement l’annihilation de toutes peurs qui pourrait la mener à sa perte. La peur sert aux limites et ne pas en avoir, c'est bien souvent dangereux. Pourtant, être accepté entièrement, sans qu'elle ne tente de le changer ou de chercher à faire de lui quelqu'un d'autre. Sans même qu'elle n'ait de jugements à faire sur sa personne, ça, c'est ce qui lui plaît aussi férocement chez elle. C'est quelque chose qui lui donne envie d'en savoir encore plus. De la comprendre toujours plus. "Peut-être que tu devrais, au moins un peu." Lui dit-il dans un sourire, juste pour qu'elle comprenne que la peur est parfois nécessaire. D'ailleurs, le craindre un peu, ce serait quand même se méfier et faire attention parce que c'est une bombe à retardement Al. Une bombe qui ne manquera pas d'exploser et même s'il voudrait sincèrement que Winnie ne soit pas présente lorsque ça arriver, il sait pourtant qu'il ne saurait le contrôler. Il ne saurait faire en sorte de choisir. Il serre encore les dents Al alors que Rosie se fait entreprenante. Qu'elle bouge sur lui avec douceur et habileté. Elle est diablement sexy. Si bien qu'il doit se mordre plus fort pour ne pas perdre entièrement le contrôle. Pour ne pas jouir dans la seconde alors qu'il est au bord du précipice. Toutes les pièces, tout le temps. Voilà ce qu'il veut avec elle. Il a besoin d'elle. D'eux. De leur rencontre. De leur union. "Je sais... Parfaitement ce que je dis!" Halète-t-il avant de mordiller son cou.
Il se joint à elle à présent, collant son bassin à elle et s'éloignant dès qu'il le peut, résistant tant bien que mal. Mais bien plus mal que bien finalement. Et alors qu'elle avoue vouloir plus. "Tout ce que tu voudras ma Rosie!" Plus de lui, tout comme lui a toujours besoin de bien plus d'elle, il se soulève, dans un dernier effort qui lui paraît presque insurmontable pourtant, collant son torse, plus proche encore qu'il ne l'était d'elle pour décupler son plaisir, pour qu'elle puisse trouver le sien. De ses mains qui se font cette fois autoritaire, il prend alors ses fesses entre ses mains pour la guider plus vite, plus loin vers lui. Plus proche, toujours plus alors que ses yeux se perdent dans les yeux, ses lèvres contre les siennes et que leurs souffles s'emmêlent alors qu'il perd totalement pied. Qu'il perd la seule attache qui lui restait avec la réalité et qu'il explose. Une jouissance sans pareille. Une jouissance qui le secoue de la tête au pied alors qu'il mord, capture les lèvres de Rosie, l'emportant avec elle dans son tourbillon de plaisir, un râle s'étouffant contre elle. Il est essoufflé Al. Complètement déconnecté. Surpris par des sensations inconnus et un bien-être qui l'étreint avec étrangeté. Il glisse sa main sur la joue de Rosie, l'embrasse alors doucement, le souffle toujours coupé alors qu'il caresse son dos d'une pression presque possessive malgré la douceur. Il dit doucement, en la fixant enfin. "Tu es magnifique..." Et ça l'était. Magnifique. Plus que jamais.
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Sujet: Re: « i knew you were trouble. » — ((A&W#00))